Ils ont dit

– Marcel Lobet, à propos de Pommes sures : « C’est le journal de classe du Grand Maulnes. »

– Jean Mergeai : « Claude Raucy est sans doute l’écrivain le plus fécond de notre province. »

– France Bastia, à propos de Ne pas se pencher au-dehors : « …mais c’est la richesse, la profondeur, la continuité de cette observation qui confère aujourd’hui leur épaisseur à des héros qui très souvent, pour ne pas dire presque toujours, le reflètent. »

– Ghislain Cotton dans Le Vif, à propos du même livre : « Gaumais, cosmopolite et impertinent, l’auteur est un de ces écrivains prolifiques et libres dans leur tête pour qui l’écriture est un plaisir total et quotidien. Détenteur de surcroît d’une solide culture servie par une patte à la fois sûre et folâtre. »

– Laurette O., à propos des oeuvres complètes de Raucy : « Connais pas! »

– Jean-Marie Vodoz (dans le journal suisse Le Matin), à propos de Tu voles, Grégoire :  « Mais je ne raconterai pas la fin. Ma petite-fille (11 ans), à laquelle j’ai passé ce lire, l’a lu d’un trait. Eh bien, cher M. Raucy, vous avez réussi à la séduire. »

– Frédéric Kiesel (dans le Luxemburger Wort), à propos de la Reine des prés :  « Claude Raucy a le courage paisible de chanter le bonheur, l’iris d’eau, la coccinelle, le vent parfumé des vacances, la fidélité claire comme la nappe et le pain. L’état de grâce est ici quotidien. Il magnétise les mots et la vie. »

– Geneviève Mazel (dans Lecture Jeunes), à propos de Fous pas le camp, Nicolas ! :  « Un texte magnifique à faire lire de toute urgence à tous les adolescents en mal de vivre et aux autres. »

– France Bastia (dans Nos lettres), à propos de Fous pas le camp, Nicolas ! :  « Récit plein de pudeur dans l’émotion et de sobriété dans l’écriture, où la poésie affleure, discrète, pour irradier dans les dernières pages. »

– Alain Bertrand (dans le Luxemburger Wort), à propos de Ne pas se pencher au dehors :  « Homme de culture, Raucy met sa plume au service d’un certain bonheur d’écrire en dehors des chemins convenus. Il n’est pas, en effet, une nouvelle qui se ressemble ou se répète. Raucy y allie impertinence et gourmandise, drôlerie et dérision, notamment à son propre égard dont ces 23 nouvelles dressent une manière de portrait en kaléidoscope. S’y reflètent des manies, des fragilités aussi, et, par-dessus tout, une manière de voir, empreinte de cette haute fantaisie qui fait la qualité de ceux qui sont demeurés des grands enfants stupéfaits devant les mille et une merveilles de la Création. »

– Aurélien Dony ( dans une intervention qu’il fit à Liège, le 24 octobre 2009, pour le demi-siècle d’écriture de Claude Raucy ) : « Il est souvent d’usage de dire qu’on marche vers l’œuvre d’un auteur, je dirais plutôt ici que l’œuvre de Claude marche jusqu’à vous. Claude, à travers ce qu’il dit et ce qu’il fait, va toujours à la rencontre des gens. Il n’a de cesse, en effet, de leur proposer, non seulement son idéal de vie et d’écriture, mais aussi simplement cette main tendue que chacun peut accepter ou refuser. Ainsi que la fraternité, l’amitié, la vie peuvent prendre mille formes, l’œuvre de Claude en a pris mille. »

– Eric Brucher ( Le carnet et les instants, mars 2017 ), à propos de La sonatine de Clementi : À mesure qu’en avance la lecture, on se prend davantage d’affection pour ce dernier ouvrage de Claude Raucy, La sonatine de Clementi, recueil de trois récits ou nouvelles par une plume de grande élégance, ronde, réservée et amusée.

– Monique Verdussen (La Libre Belgique), à propos de La sonatine de Clementi : Trois récits. Trois formes d’éva­sion. Trois contes malicieux plus que moraux. L’ironie à fleur de sourire et l’esprit volontiers pota­che, Claude Raucy débusque, non sans malignité, les chimères, mal­versations, duplicités, vanités, blessures ou inerties qui hantent la condition très médiocrement hu­maine.

 

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